Je suis un mauvais mari. [+ Etta]

**INSCRIT(E) LE** : 30/06/2014

Tu as passé la soirée dans un bar gay, un bar d'une petite ville près de Lisbonne. Une ville où on ne te connaît pas trop, où tu peux être tranquille. Tu n'aimes pas trop aller dans ce genre d'endroit mais tu avais envie de t'amuser et sur ce coup-là, pour t'être amusé, tu t'es amusé. Tu t'es retrouvé ce matin dans une chambre d'hôtel que tu as vite quitté, sans même adresser la parole à ton partenaire de cette nuit. Tu as sûrement trop bu, enfin plus que d'habitude vu que tu ne te rappelles que du début de soirée. Il est 7h30 du matin et tu as encore vingt minutes de chemin jusqu'à chez toi. D'habitude tu rentres dans la nuit, pour ne pas que ta femme s'inquiète mais là tu as perdu le contrôle de la situation. Tu montes rapidement dans ta voiture et roules jusqu'à ton domicile. Tu espères vraiment qu'elle n'est pas réveillé, parce qu'elle ne va pas être contente sinon. Elle va sûrement se faire des films, penser que tu étais avec une autre femme. Elle se trompe, enfin en partie. Tu n'as pas passé la nuit avec une femme mais un homme, du coup lorsqu'elle te demandera si tu étais avec une femme cette nuit, tu ne lui mentira pas dans un sens. C'est la vérité. Tu passes quand même pour un connard de faire ça, mais au contraire, c'est parce que tu ne veux pas lui faire de mal que tu lui mens, c'est pour son bien et au fond ça te blesses de devoir lui faire ça. Tu te gares devant votre grande villa. Tu souffles un bon coup. Le soleil est déjà levé mais tu encore des chances qu'elle soit au lit. Tu vas jusqu'à la porte que tu ouvres discrètement, t'infiltrant dans la maison en toute discrétion, enfin c'est ce que tu penses. Tu enlèves tes chaussures que tu mets dans le placard destiné à ça et tu marches doucement. En arrivant dans le salon, en apercevant la lumière du jour à travers les bais vitrés, tu comprends qu'elle est réveillé car sinon tout cela ne serait pas ouvert. Tu peux encore faire croire que tu as dormis sur le canapé, que tu es rentré tard dans la nuit et que tu n'as pas voulu l'embêter. Mais en jetant un coup d’œil au canapé, tu l’aperçois. Elle est assise sur le canapé, sûrement en train de t'attendre. Tu pinces tes lèvres. Elle est dos à toi mais tu sais qu'elle ne te laissera pas t'en sortir comme ça, c'est une femme au final. Tu t'approches donc d'elle. « Bonjour toi. » Tu approches ton visage du sien, un sourire aux lèvres, prêt à l'embrasser. Tu aurais pus être plus intelligent, tu aurais pu aller acheter des croissants ou des fleurs. Mais sur le coup, tu n'y a pas pensé.

**INSCRIT(E) LE** : 29/06/2014

c'est un mauvais mari
T'es assise sur le canapé. Les jambes en tailleur, ton ordinateur sur les genoux. Tu entends la porte qui s'ouvre. C'est ton mari. Ton chéri. Il t'interpelle, tu souris intérieurement. Une nuit s'est écoulée. Tu as l'impression de ne pas l'avoir vu depuis une semaine. Vos emplois du temps sont différents et très chargés, alors en semaine, c'est un peu compliqué. Tu te tournes vers lui. " Ça va ? " Tu lui demandes quand il s'approche de toi pour t'embrasser. Tu sais qu'il était dehors, tu sais qu'il a découché, mais tu tentes de faire bonne figure. T'essaye mais c'est dur. T'as passé la soirée avec une copine. Une amitié toxique. Ce genre de fille qui est toujours collé à toi mais qui n'aime pas te voir heureuse. Tu l'as connais depuis longtemps, tu t'es habituée, tu t'en fous maintenant. Mais, elle te fait douter, déjà que t'es jalouse et pleines de doutes, elle ne rajoute avec ses formules toutes faites sur les Hommes. " Tous des connards!" dit-elle. Si maligne et si connaisseuse qu'elle est toujours célibataire, Paloma. Tu te lèves du canapé. Tu réactives le volume de la télé. Tu l'avais coupé en entendant la voiture de Willow, tu savais qu'il avait découché, tu voulais le faire espérer, lui faire croire que tu dormais tranquillement. " C'était un bon coup, au moins ? " Tu lâches cette phrase sans réfléchir, mais tu t'en fous, ce n'est pas la première et surement pas la dernière scène que tu lui fais. Tu t'approches de lui, tu l'embrasses. Tu ne l'embrasses pas parce que t'es contente de le voir, tu l'embrasses pour sentir son odeur. Tu cherches désespérément quelques gouttes de Chanel qui se seraient égaré sur son corps. Rien. Il sent l'homme. Tu aimes son odeur. " Tu sais, je ne suis pas contre les plans à trois, tu aurais pu me proposer... " dis-tu. Une dernière pique avant de te diriger vers la cuisine, agacée, énervée. Tu t'assois au bar de la cuisine et tu attrapes des fruits que tu commences à découper avec agacement. Tu l'aimes Willow, et tu ne veux pas le perdre. Tu t'es mariée à 21 ans pour ses beaux yeux, tu as sacrifié beaucoup de choses pour lui alors tu n'es pas prête à accepter ses coucheries.

**INSCRIT(E) LE** : 30/06/2014

Tu n'aurais jamais dû aller dans ce bar, encore moins boire au point de ne pas te rappeler de cette soirée. Ce n'est vraiment pas dans ton habitude de bore autant. Étant sportif, tes entraîneurs se font un plaisir de te rappeler que l'alcool n'est pas bon, comme le tabac. Ils te l'interdisent même, mais tu es assez grand pour savoir ce que tu dois faire ou non. Lorsque tu t'es réveillé, avec un mal de crâne pas possible, aux côtés d'un homme nu, tu as tout de suite compris que tu avais fais une connerie. Tu couches souvent avec des hommes mais tu rentres toujours avant le levé du soleil. Aujourd'hui, le soleil était déjà levé que tu n'étais que sur le chemin du retour. Tu as mal calculé ton coup, très mal. Etta va être furieuse et tu vas la sentir passer si elle est réveillé. Tu vas devoir mentir, encore une fois. Tu as pris l'habitude à force, une mauvaise habitude. Tu te dois de lui mentir, tout s'est passé si vite entre vous. Vous avez sympathisé, devenu meilleurs amis, liés comme les deux doigts de la main et puis un jour, elle t'a avoué être amoureuse de toi. Tu ne pouvais pas l'envoyé balader, parce que c'était ton amie, parce que tu ne voulais pas la voir souffrir ni la perdre. Alors, tu es sorti avec et te voilà marié à elle depuis plusieurs mois. Votre couple apparaît un peu partout, dans les magasines, sur internet. Tu n'es pas très connu mais elle, elle a réussi à se faire un nom dans l'événementiel ce qui a transformé votre mariage en coup de pub. C'était un beau jour oui, tu t'es bien amusé, c'était magnifique mais tu ne pouvais que t'en vouloir de faire ça. Elle avait l'air heureuse ce jour-là, elle souriait comme tu ne l'avais jamais vu sourire auparavant. Tu faisais d'elle une femme heureuse, mais à quel prix ? Il faudra bien qu'un jour tu lui avoues que tu aimes les hommes, tu ne peux pas rester avec elle toute ta vie, si ? Elle sera malheureuse et toi aussi, ce n'est pas ce que vous voulez. Enfin, tu as encore le temps avant que ce jour-là arrive, pour l'instant, ton seul problème est ta femme assise sur le canapé, silencieuse. La télévision est sans son, elle l'a coupé. Sûrement pour t'entendre rentrer. Tu prends ton courage en main et t'approches d'elle, la saluant, allant l'embrasser. Tu déposes un léger baiser sur ses lèvres, un baiser furtif avant de te redresser. Elle te demande si ça va, c'est le calme avant la tempête et tu le sais. « Ça va. » Tu murmures alors qu'elle se lève, rallumant le son de la télévision. Elle te demande si c'était un bon coup. « Je ne vois pas de quoi tu parles. » Tu rétorques directement, laissant aucune inquiétude se voir sur ton visage. Si tu montres que tu es inquiet, elle saura que tu mens. Elle est très bonne à ça Etta, c'est même une experte. Tu as l'habitude qu'elle t’envoie des piques lorsque tu rentres tard, elle s'inquiète, a peur que tu l'as trompe et dans un sens, son inquiétude est fondée. Elle s'approche de toi et tu sais très bien à quoi elle joue. Elle ne t'embrasse pas pour le plaisir, non. Parce qu'elle est bien trop énervé contre toi pour avoir envie de t'embrasser. Elle veut juste te sentir et c'est sûrement cela qui va le plus te trahir. Tu sens l'homme, l'odeur du mâle avec qui tu n'as pas dût que dormir cette nuit. Elle te dit qu'elle n'est pas contre les plans à trois, que tu aurais pu lui proposer. Elle part dans la cuisine. Tu pinces tes lèvres. Et merde, il va falloir improviser là Willow si tu ne veux pas qu'elle face la tête pendant trois jours, qu'elle ne te lance pas des piques à longueur de journée. Tu es fatigué de l'entendre t'envoyer des piques. Tu marche doucement jusqu'à la cuisine où tu la retrouve entrain de découper des fruits. « Je ne sais pas ce que tu imagines, mais j'ai passé la soirée avec les gas. » Tu te colles au frigo, croisant les bras. « On a pas mal bu, joué au baby-foot puis on a dormi à cinq dans le même lit. » Tu rajoutes, essayant de bien construire ton mensonge. « Personne ne voulait dormir parterre et Bruno n'avait qu'un lit. » Tu t'approches d'elle, décroisant tes bras. « On a juste crevé de chaud. » Ce qui explique l'odeur de mâle qui t'enveloppes. Tu passes tes bras autour de sa taille, posant ton menton sur son épaule. « meu amor, não fique com raiva de mim, só existe você. » Tu lui murmures à son oreille. A cause de vos boulots respectifs, vous avez pris l'habitude de vous parler en anglais mais c'est bien dans ta langue maternelle que tu essayes tant bien que mal de la rassurer. Tu ne veux pas la voir malheureuse, ce n'est pas pour cela que tu t'es marié avec elle. Tu déposes un petit baiser sur son cou, serrant ton étreinte. Tu fais exactement ce que tu ferrais avec un homme pour le rassurer, parce qu'il n'y a que de cette façon que tu arrives à ne pas faire trop de conneries.

Apprendre le portugais:

**INSCRIT(E) LE** : 29/06/2014

c'est un mauvais mari
Il a tout intérêt à te calmer. T'as un couteau entre les mains. Tu l'écoutes paisiblement en continuant à découper tes fruits que tu jettes violemment dans le blender. Et puis, après tout, vu ta jalousie excessive, tu t'es sûrement emporté, tu te fais des films. Aussi bizarre que cela puisse paraître, tu le crois surtout quand il s'approche de toi et te rassures. Ah, qu'est ce que tu l'aimes. T'es surprise. Il te parle en portugais, c'est vrai que tu ne parles jamais portugais avec lui. Sauf quand vous échangez des moments tendres, ou que vous avez une discussion sérieuse. Tu te retournes et tu l'embrasses. Tendresse matinale. Tu reprends ton couteau. " Tu aurais quand même pu appeler, prévenir, faire un truc...je sais pas. " Tu pointes le couteau vers lui et tu le chasse avec. " Maintenant, dégage avant que je te tue et que l'on m'incarcère à vie pour le meurtre d'un jeune espoir du football. Que l'on me déteste. " Tu cours comme une gamine derrière lui. Finalement, vous n'êtes que deux enfants mariés un peu trop tôt. Il se saisit du couteau le jette à terre. Tu le pousses sur le canapé et tu t'allonges sur lui. Tu l'embrasses. " eu te amo, t'es le plus beau. " Tu le regardes longuement. T'es rarement tombé amoureuse dans ta vie. Mais, Willow, c'est différent, il est tellement attentionné, il en devient presque trop parfait, certains de tes proches pensent que cela cache quelque chose mais toi, t'es pas comme ça d'habitude mais là, tu crois et tu penses que c'est le bon. " RAAAh, on ressemble à un vieux couple. " Tu te relèves, t'es à califourchon sur lui. " Tu m'appartiens aujourd'hui. Pas de potes, pas de téléphone "

**INSCRIT(E) LE** : 30/06/2014

Tu fais tout pour la rassurer, en même temps elle est armé, donc mieux vaut que tu ne la provoque pas pour le coup. La tête posée sur son épaule, tu espères qu'elle réagira bien, qu'elle te pardonnera de l'avoir laissé une nuit de plus. Elle est très jalouse et ça tu l'as bien compris, c'est pour ça que ses crises de jalousie ne t'étonnent même plus. Tu ne peux que la comprendre lorsqu'elle t'imagine aux côtés d'autres femmes, tu ferais pareil à sa place. Elle est simplement humaine mais surtout amoureuse. Tu sais que lui parler en portugais jouera en ta faveur, parce que vous parlez rarement dans cette langue. Elle se retourne, te faisant face. Tu gardes tes bras autour d'elle, la regardant. Elle t'embrasse, ça y est, tu as réussi ? Sûrement. Tu lui rends doucement son baiser. Tu as finis par t'habituer aux baisers partagés, pour toi c'est comme des baisers d'amitié. Elle reprend son couteau et te dis que tu aurais pû l'appeler, prévenir, faire un truc. Tu pinces tes lèvres. « J'ai pas l'habitude de l'alcool tu le sais, du coup deux bières et j'étais k.o, je n'y ai pas pensé, désolé. » Tu essayes de te rattraper, mais tu fais vite un pas en arrière lorsqu'elle pointe son couteau vers toi. Tu la regarde surpris. Elle te dit de dégager avant qu'elle te tue ou qu'on l'incarcère à vie pour le meurtre d'un jeune espoir du football, qu'on la déteste. Un sourire apparaît sur ton visage. « Oui madame ! » Tu t'enfouis en courant alors qu'elle te poursuis. Tu aimes ces moments-là, ces moments sans aucune prises de tête, de l'amusement. Tu arrives à attraper le couteau et le jeter à terre. Elle te pousse sur le canapé et tu n'as pas d'autres choix que de te laisser faire. Elle s'allonge sur toi, t'embrasses et te dis qu'elle t'aimes, que tu es le plus beau. Ça fait toujours du bien d'entendre ça mais tu évites tout de même de lui dire que tu l'aimes. « J'avoue que je suis canon. » tu t'exclames sur le ton de la rigolade. Tu encres ton regard dans le sien, souriant. Tu sais que c'est ce genre de moment qui la rendent heureuse et cela te fais plaisir. Tu te sens bien avec elle lorsqu'elle ne se fait pas des films. Elle se relève en s'exclamant que vous ressemblez à un vieux couple. Tu ris doucement. Elle rajoute que tu lui appartiens aujourd'hui, pas de potes, pas de téléphone. Tu n'as pas le droit de lui refuser ça, tu lui accordes rarement du temps alors tu peux bien faire un effort pour cette fois. Tu te redresses légèrement. « Pas de potes, pas de téléphone ! » Tu affirmes avant de glisser tes doigts sur ses côtes pour lui faire de la chatouille. Tu veux l'entendre rire, la voir sourire, la voir heureuse comme elle le mérite.

**INSCRIT(E) LE** : 29/06/2014

c'est un mauvais mari

Toujours à califourchon sur ton mari, vous vous amusez. Il te chatouille, tu rigoles, même si tu détestes ça, mais tu ne peux t'empêcher de le faire, c'est humain. Tu rigoles de plus en plus fort puisqu'il n'arrête pas. " Tu n'as pas l'habitude de l'alcool, je sais, mais tu aurais dû être saoul ici, on serait amusé, j'aurai pris l'avantage sur toi comme maintenant " Tu l'embrasses et tu te stoppe quand il recommence ses chatouilles. " Arrête..." Ta voix est hachée car tu ne peux pas placer un mot sans être interrompu par les rires. " Je déteste çaaa " Vous continuez à vous " chamailler " à rire, et à vous embrassez sur le canapé. Tu attrapes ton téléphone qui est posé sur la table du salon. " T'es beau, mon amour, mais donne tout là, je te prends en photo. " Tu le bombardes de photos sans qu'il n'ait le temps de poser, tu t'en fous, il en aura forcément une ou il sera beau. Ta mère t'a toujours mis en garde, mais c'est plus fort que toi, tu l'aimes et tu l'admires. T'es un indépendante, mais là, tu n'as pas l'impression que tu peux vivre sans lui. Elle t'a toujours dit qu'il ne fallait jamais idolâtrer quelqu'un. « Tu finiras toujours par le regretter » Toute ton enfance, elle te l'a répéter mais à ta grande habitude, tu ne l'as pas écouté et tu as bien eu raison, tu ne le regrettes pas. Toujours munie de ton portable, tu te retournes et tu t'allonges sur lui. L'appareil est désormais tourné vers vous. " Non, ne souris pas, tu fais peur " Dis-tu en le taquinant. Les clichés que tu prends, ils finiront forcément sur internet. T'es une personnalité du net, ta réussite, c'est grâce à la mise en scène de ta vie, et tu veux qu'il en profite. Qu'il gagne de la notoriété sur le terrain et en dehors des terrains, qu'il gagne des contrats publicitaires juteux. Non, tu n'es pas attirée par l'argent, mais tu aimes la réussite, l'argent de ton mari, tu t'en fous, tu as le tien. Tu veux juste être que vous soyez LE couple. Posh and Becks du Portugal. Vous êtes bien partis, tu n'es pas prête de t'arrêter là, tu as de grands projets pour vous. Tu peux remercier vos belles gueules. Tu te stoppes mais tu restes allongée sur lui en lui caressant son torse. " On fait quoi ? Ne me dis pas, je ne sais pas, je déteste cette réponse " T'es une femme directive quand même mais ce n'est pas non plus un homme soumis bien au contraire.

**INSCRIT(E) LE** : 30/06/2014

Elle est à califourchon sur toi et tu la chatouilles, la faisant rire. Tu adores l'entendre rire parce que cela prouve qu'elle est heureuse avec toi. Elle te dit que tu aurais dû être saoul ici, que vous vous seriez amusé et qu'elle aurait pris l'avantage sur toi comme maintenant. Tu pinces tes lèvres. « Oui je sais.. » Tu murmures doucement avant de reprendre tes chatouilles. Elle te demande d'arrêter, qu'elle déteste ça, mais tu continues quand même. Tu la chatouilles et l'embrasse. Tu ne peux qu'apprécier ce moment. Elle arrive à se calmer et se penche vers la table du salon pour prendre son téléphone. Tu la regarde faire, arrêtant tes chatouilles. Elle te dit que tu es beau et te demandes de tout te donner parce qu'elle te prend en photo. Tu n'as même pas le temps de réagir qu'elle est déjà en train de te photographier. Tu caches ton visage à l'aide de tes bras. « Arrête. » Tu ris, essayant de l'empêcher de te prendre en photo. Tu aimes les photos, mais pas lorsqu'elles sont inattendues. Elle se couche sur toi, vous prenant tous les deux en photo. Elle te dit de ne pas sourire parce que tu fais peur. « Hey ! » Tu t'exclames amusé. « C'est pas vrai ! Tout le monde dit que j'ai un très beau sourire d'abord ! » Tel un enfant, tu fais la moue. Elle ne serait pas sur ton torse, tu aurais croisé tes bras sur celui-ci. Elle prend des photos de vous et malgré ce qu'elle t'a dit, tu souris. Tu sais qu'elle blaguait. Tu entoures son corps de tes bras musclés. « Tu vas les mettre sur ton blog ? » Tu te doutes bien qu'elle va les mettre. Elle poste de nombreuses photos de vous, toi aussi d'ailleurs. C'est de cette façon que de plus en plus de personnes vous reconnaissent dans la rue. Tu sais que c'est très bénéfique pour ta carrière. Son métier t'aide à te faire voir, surtout lorsqu'elle pose des articles sur ta passion. Internet est la clef de la réussite désormais et Etta l'a bien compris. Tu sens sa main caresser son torse. Elle te demande ce que vous pourriez faire et elle rajoute de ne pas lui répondre que tu ne sais pas, qu'elle n'aime pas cette réponse. Tu tournes la tête et regardes à travers la baie vitré. « Et si on allait se baigner? Il fait super beau. » Tu te redresses, la faisant se redresser avec toi. Tu la soulève de tes bras et la pose au sol. « Tu vas enfiler un maillot ? » Tu la regardes et finit par la porter comme les princes portent les princesses. « On s'en fou on y va en sous-vêtements. » Sous-vêtements, maillots de bain, c'est presque la même chose hein. Tu sors pas la baie vitré, ta femme dans les bras. Tu la reposes sur le sol et retires tes vêtements. Tu enlèves ta bague de mariage pour ne pas l'abîmer et la pose sur le transat avec tes vêtements. Tu la laisse se déshabiller avant de l'attraper et de sauter dans l'eau avec elle.

**INSCRIT(E) LE** : 29/06/2014

c'est un mauvais mari

Il te demande si tu vas les mettre sur ton blog. Bien évidemment que tu vas les mettre sur ton blog. La mise en scène de ta vie, c'est le plus important pour toi. Ce n'est pas vraiment une mise en scène après tout, parce que c'est réellement ce que vous faites. « Tu seras partout, sur Facebook, sur Twitter, sur Instagram, sur mon blog, PARTOUT. Je vais agacer les gens avec ta petite tête d'ange. » Tu ne lui parles plus, tu es absorbé par ton téléphone, il est là arrêter, tu sens ses mains sur ton corps, il te caresse. Tu attends qu'il réponde à ta question et sans vraiment comprendre ce qu'il se passe, ton portable glisse sur le canapé, tu te retrouves dans ses bras, il te soulève comme il t'a soulevé le jour de votre mariage pour t'amener à l'hôtel. Tu t'accroches à lui, tu as une idée très précise de ce qu'il veut faire même avant qu'il ne le dise. Tu l'aimes quand il est spontané. L'eau est si bonne. C'est le matin, mais le soleil est au rendez-vous. En plongeant dans la piscine, tu te rends compte que tu nages très rarement dans cette piscine. Tu t'approches de l'échelle pour ressortir de la piscine et tu te diriges en courant de la cabane en bois près de la piscine. Cabane dans laquelle vous rangez certains objets nécessaires pour la piscine. Tu te saisis des matelas gonflables, tu les sors avant de repartir vers la piscine, tu vas chercher ton appareil photo waterproof et non ton portable. Cette fois ci, ces clichés seront pour vous, pour vos enfants, pour vos amis, ils ne seront nul part ailleurs. Il est souvent difficile d'être un personnage publique mais encore plus quand vous êtes blogueuse et que vous devez savoir faire la part des choses. Tu jettes les matelas dans l'eau. « Je sais que tu aimes faire la loque et encore plus dans l'eau au soleil.» Willow, c'est un peu ton modèle. Tu adores le bombarder de photos, tu aimes le prendre et te prendre en photo. Tu le fais tomber du matelas et tu le coule. Tu plonges et tu recommences ta séance photo sous l'eau.

Sujet: Re: Je suis un mauvais mari. [+ Etta]

» ETTA- Absence du 8/08 au 17/08.
» etta soares ≈ #4007 - 555
» je suis tes funérailles, amour.
» loin de ce que je suis. (naeem)
» bonjour, je suis chiante, au revoir

Je suis un mauvais mari. [+ Etta]

Je suis un mauvais mari. [+ Etta]

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