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 Juste peau contre peau, sans souffrance, sans remord. { Daniel

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Paola Delacruz
Paola Delacruz
INSCRIT(E) LE : 02/07/2014
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MessageSujet: Juste peau contre peau, sans souffrance, sans remord. { Daniel   Juste peau contre peau, sans souffrance, sans remord. { Daniel EmptyMer 9 Juil - 12:14


Daniel & Paola.
« Corps à corps »
Il y a les hommes avec qui je passe une nuit, cela ne compte pas. C’est rien juste un moyen de combler le vide qui se creuse au fond de moi depuis plusieurs années. Il y a les hommes que je fuis, parce que je n’ai même pas envie de poser un regard sur eux et ne me demander pas pourquoi ? Il y a des choses qui ne s’expliquent. Il y a des hommes qui croisent ma vie, s’y incrustent même et qui sans le vouloir laisse des traces, certaines sont profondes, d’autre à fleurs de peau, d’autre juste sur mon corps. Depuis mes seize ans, je fuis les sentiments surtout ceux qui ont un rapport avec l’amour. Je les fuis parce que lorsque j’ai voulu dire je t’aime à Robin et bien il ne m’a pas cru. Pourtant il avait fait vibrer mon cœur, comme personne depuis ne l’a fait. Mais j’avais mérité son mépris après tout j’avais joué et perdu. Depuis je ne m’attache plus, par peur de souffrir encore. Et puis  il y a João parfois j’ai la sensation qu’il a fait mon cœur prisonnier de nos jeux, peut être pour se venger, peut être pour me détruire. Je ne sais pas, c’est tellement destructeur entre nous mais aussi terriblement jouissif. Et cela ne date pas d’hier.  J’ignore jusqu’où cela nous m’aimera mais cela me réchauffe le cœur de l’avoir prêt de moi, même si ce que j’éprouve me fait peur parfois. Entre Robin et João c’est toujours une sensation de marcher au bord du gouffre parce que le cœur est lié même malgré moi à ces deux relations. Et j’ai beau essayé de passer outre et bien rien n’y fait, alors je souffre en silence quand j’aperçois le premier et quand je suis en compagnie du second. Mais que faire d’autre, ou alors tirer un trait sur les deux, ou bien chercher ailleurs autre chose.


Alors il y a Daniel, une relation basée que sur du charnel. Et dans le monde où l’on vit, ou tout est pourri, une relation comme ça sans prise de tête, juste pour le plaisir et bien c’est très agréable. Pas de souffrance, pas d’attache, pas de jalousie, juste du sexe et du plaisir. Chacun prend de l’autre ce qu’il a besoin au creux de son corps et puis basta et advienne que pourra. Il vient chez moi ou je vais chez lui, où nous nous retrouvons dans une chambre d’hôtel, quelques heures et puis chacun repart de son côté. Sans demander des comptes à l’autre, sans espoir de se revoir, sache aussi bien lui que moi que cela arrivera. Il y a des choses contre lesquelles on ne peut lutter, le désir physique fait partie de ses choses. Mais avec lui je ne souffre pas, c’est à peine si on se parle, juste le stricte nécessaire. Pas de mot inutile, pas de geste sans raison. Et lorsque ses mains se posent sur mon corps c’est juste pour des caresses, et lorsque c’est yeux se perdent dans mes yeux c’est juste pour me regarder, pas d’arrière pensée, pas d’envie de blesser. La clope entre mes lèvres et un verre de vodka à la main je l’attends, je l’ai appelé hier soir juste pour savoir s’il pourrait passer aujourd’hui. Nous fixons nos échanges charnels, un peu comme on fixerait un rendez-vous. C’est comme ça entre nous. Mais entre Robin qui se joue de moi et João qui en fait de même j’ai besoin d’un moment d’évasion, juste laissé mon corps se faire emporter sous d’autre horizon. Sans colère, sans passion, sans haine, sans douleur, juste par envie. Et Daniel il a dit oui et il ne devrait pas tarder à frapper à ma porte. J’ai glissé sur ma peau une robe légère facile à enlever, mes yeux et mes lèvres sont légèrement maquillées. Pas besoin d’en faire plus de toute façon je ne suis même pas sur qu’il remarque ce genre de détail. Non surement pas. Daniel il voit juste mes courbes, remarque je ne suis pas certaine de l’avoir vraiment regardé, il est plutôt beau gosse, même craquant et après le reste et bien cela me passe au dessus de la tête. Je crois que même si je lui ouvrais nue il s’en foutrait, du moment que l’on se retrouve au lit et que je ne lui demande rien d’autre. Mais c’est le deal et ça me convient alors pas besoin d’en faire trop.


On frappe, je me lève pour ouvrir. Je sais que c’est lui, il a une façon de taper à ma porte bien personnelle. « Salut. » Un sourire nait à peine sur mes lèvres, je laisse juste glisser mes yeux sur son corps, sur ce corps qui dans quelques minutes  prendra possession du mien et me fera oublier les douleurs de ses jours passés et celles des jours futurs. « Un verre. J’ai de la vodka. » Juste les mots utiles, juste parce que l’on reste des humains malgré tout, malgré nous. Puis je m’approche, frôlant ses jolies petites fesses d’une main coquine et mes lèvres se perdent sur les siennes.  Je ne suis pas bouleversé au fond de moi, comme je le serais si c’était les lèvres de Robin que j’embrassais. Je ne suis pas perturbée, pas de papillon au creux de mon ventre, comme les ferait naitre João. Mais je ne couche pas avec Daniel pour cela, avec Daniel je couche juste pour oublier. J’avale mon verre pas pour me donner du courage, je m’en ai pas besoin, je fini ma clope et l’écrase. Et je me love contre lui, mes mains glissent dans ses cheveux. Mes lèvres prennent le chemin de son cou. « Le lit ou le canapé. » Peu importe sa réponse, je m’en fou et lui surement aussi. C’est comme ça. Et ne me jugez pas. Parfois on est juste prête à tout pour ne plus souffrir.
crédit © vendetta.
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Daniel C. Zielinski
Daniel C. Zielinski
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MessageSujet: Re: Juste peau contre peau, sans souffrance, sans remord. { Daniel   Juste peau contre peau, sans souffrance, sans remord. { Daniel EmptySam 12 Juil - 22:07

sous les lames de l'ennui d'autrui
 
La sottise, l'erreur, le péché, la lésine, occupent nos esprits et travaillent nos corps, et nous alimentons nos aimables remords comme les mendiants nourrissent leur vermine.

« ouais. je s'rais là. » Ton portable retombe lourdement sur ton canapé sans même que tu prennes la peine de raccrocher. À quoi bon te faire chier à appuyer sur la touche alors qu'elle le fera de toutes façons ? L'air pensif, tu rejettes ta tête en arrière en tirant un peu plus sur le mégot coincé entre tes doigts. La fumée âcre s'échappe doucement de ta gorge et tu la regardes s'élever en volutes vers le plafond tâché. Ce plafond avait eu un jour la prétention d'être blanc, mais c'était il y a longtemps, et tandis que tes yeux se perdent sur ses imperfections, le liquide froid qui lêche tes phalanges te rappelle à l'ordre. T'aurais pû renverser un peu de ce précieux vermeil qu'est l'alcool à tes yeux, quel gâchis. D'une traite, tu finis ce verre ni trop plein ni trop vide, sans réellement chercher à comprendre comment tu aurais préféré qu'il soit - sans doute moins immonde - puis tu le reposes lourdement sur la table basse. C'est l'heure de se lever maintenant ; te redressant, tu t'étires quelques instants puis passes une main dans tes cheveux clairs. Un petit regard vers ton reflet au mur confirme que tu ne paies pas de mine, mais ton t-shirt est plutôt propre alors tu peux sortir. La porte grince sur ses gonds alors que tu tournes les talons et t'enfonces dans la douce obscurité d'une nuit d'été. 

Réveil difficile, mal aux cheveux, t'as les yeux gonflés, l'estomac affamé. Tu sais pas où t'es, mais t'émerges péniblement du lit improvisé, cherchant des yeux tes vêtements qui ont disparu presque subitement. Tu tombes sur quelque chose de fumable, tu t'en saisis sans remords aucun, avant d'ouvrir le frigo et de te servir un verre de ce qui semble être du jus d'orange - rien n'est moins sûr ; l'esprit toujours embrumé, tu sors de la bâtisse sans demander ton reste.
Ta vie ne mène plus à rien, voilà des mois que cette routine incessante et gueulante te poursuis, et ce monstre que l'on appelle l'ennui menace à chaque instant de t'avaler sans préavis. Sans que l'envie de rentrer chez toi ne se fasse ressentir, tu décides de passer du temps dehors, juste pour voir si par pur hasard la vie en serait plus belle. Après avoir acheté ce qu'un mexicain te proposait de manger, tu te rendis bien vite compte que l'ennui était aussi cuisant au dehors qu'enfermé dans ton appartement. Et qu'à chaque fois, tout ce vide dans tes pensées te conduisaient inévitablement à lui. Sur un coup de tête, tu décides alors de marcher, de vagabonder dans les rues de Lisbonne dont les crocs se refermaient lentement sur tes tempes, et machinalement tes pas te menèrent jusqu'à chez toi. Il n'était pas trop tard pour prendre une douche, ni trop tôt d'ailleurs, et les odeurs de différents mélanges tentés la veille en témoignaient. En sortant, tu manques de tomber et tu te rattrapes en justesse au rideau de douche qui cède sous ton poids, histoire de te rappeler à quel point c'est un journée qui te veut du bien. Tu laisses le matos à terre, tu répareras demain, t'as pas vraiment envie dans l'immédiat. Puis tu pars à la recherche de vêtements plus ou moins propres, avant de tomber sur l'objet de ta convoitise. Tu plonges inconsciemment ta main dans l'une des poches et en ressors, victorieux, ton portable. Ah tiens, t'étais là toi ? T'avais presque oublié. Presque complètement. Paola t'attends. Tu passes encore quelques minutes à chercher une paire de chaussures, ou peut-être est-ce un prétexte pour perdre encore du temps ? Peu importe, te voilà sorti, déambulant dans les rues jusquà baixa.

Trois coups. Pour le père, le fils, et le saint esprit. Ou tout simplement parce que tout le monde frappe trois fois, à défaut d'avoir trouvé heurtoir ou sonnette. C'est une jeune femme légèrement vêtue qui t'ouvris, à la beauté frappante mais qui pourtant te laisses de marbre, sans doute habitué à parcourir son visage. « Salut. » Pour toute réponse tu te contentes d'hocher légèrement la tête. Elle te propose un verre, t'acceptes, et tu vas même jusqu'à te servir ce verre, car tu penses qu'elle ne le fera sans doute pas. Tu n'en bois au final qu'une maigre gorgée, dégouté par le souvenir même des quantités ingurgitées la veille au soir. Appuyé contre la table de ce qui lui sert de salon, tu poses le contenant et sors de ta poche l'objet volé au matin ; tu le grilles nonchalament et attends quelques instants que cet air lourd et parfumé viennent caresser tes poumons. Tu sais pas vraiment ce que tu fous là, à vrai dire t'es pommé, comme à chaque fois, tu ne saurais dire si t'es venu de plein gré ou si tu te présente en sauveur à cette demoiselle qui aurait besoin d'aide. T'es ici pour prendre ton pied, mais c'est à peine si tu en as l'envie. La jeune femme s'approche de toi, taquine tes reins et caresse tes lèvres des siennes dans une expiration. Tu lui tends alors le joint du bout des doigts, en regrettant ton geste immédiatement ; ce n'est pas dans tes habitudes d'être généreux, encore moins avec cette fille qu'au fond tu n'apprécies même pas. Mais de toutes façons il est trop tard, trop tard pour échapper à la casserole, trop tard pour refuser, trop tard pour tout, il est toujours trop tard. Alors tes gestes se répetent, mécaniquement, comme s'ils étaient décidés par un programme créé sans aucun but si ce n'est passer le temps. Tes lèvres glissent sur sa peau, le long de son cou, vers une épaule douce et chaude, tes bras s'emparent de ses hanches, tu la soulève du sol pour qu'elle fasse acte de présence sur la table qui menace de ployer. Le lit ou le canapé ? Ce sera la table, vous ne l'avez jamais fait sur la table, ce sera la première originalité de la journée. Tes doigts glissent sous le tissus, laissant la peau frémir et les voix se languir ; tu t'abandonnes à ces instants sans poser de questions superflues ou mal venues, laissant seulement tes mains parcourir la chair tentatrice de la prédatrice.
 
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Paola Delacruz
Paola Delacruz
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MessageSujet: Re: Juste peau contre peau, sans souffrance, sans remord. { Daniel   Juste peau contre peau, sans souffrance, sans remord. { Daniel EmptyMer 16 Juil - 21:59


Daniel & Paola.
« Corps à corps »
On frappe à ma porte et je vais ouvrir, sachant parfaitement qui se trouve derrière. Histoire de faire genre je suis contente de te voir, je lui souris, mais je sais que c’est une façade et il le sait aussi. Je ne vais pas lui sauter dans les bras et encore moins au cou, un simple salut suffira pour l’accueillir. C’est à peine s’il y répond d’ailleurs, mais j’en ai l’habitude, à vrai dire j’ai l’habitude de cette indifférence qu’il y a entre nous.  C’est comme ça entre lui et moi  et chacun s’en contente. Daniel entre dans la maison, mes yeux trainent inconsciemment sur lui, je le regarde sans réellement le voir ou plutôt s’en y accorder la moindre importance. De toute façon je ne l’ai jamais réellement regardé. Mais ou est l’importance de regarder quand on se fou totalement de la personne que l’on a en face de soit. Sauf sur un point celui pour lequel il est là, le partage d’un moment de plaisir charnel. Parfois je me demande ce que je cherche dans ses bras, je suis certaine qu’il se pose les mêmes questions. Et je ne cherche même pas les réponses, de toute manière cela m’apporterais quoi, je me verrais peut être plus comme je suis. Et nos rencontres ne sont pas faites pour que je débatte sur mon état d’esprit, ni le sien, non.  Elles sont juste faite pour le plaisir de la chair, nous nous offrons juste nos corps le temps d’une étreinte. Je lui propose un verre, il se sert, tant mieux car je ne l’aurais pas fait, oui je propose et après il se débrouille, c’est bien plus facile comme ça. Il n’y a pas spécialement de règle entre nous, ni même d’interdit d’ailleurs, nous ne perdons jamais de temps avec les mots. A vrai dire c’est plutôt j’ai envie, tu me l’offres, je le prends. Et ça marche pas mal, enfin pour le moment.


Le voilà qu’il allume quelque chose que j’aimerais bien partager. Alors je parts à la pêche tout en jouant laissant trainer mes lèvres et mes mains sur certaines parties du corps de Daniel. Ses fesses, ses lèvres, tout en douceur pour commencer, juste histoire d’allumer le beau blond comme il allume sa clope. Et il m’offre presque dans un geste de dédain le joint qu’il portait à ses lèvres quelques secondes plus tôt. Je tire une taffe et me laisse à mon tour envahir par le bienfait de cette délicieuse chose.  Je ferme les yeux pour que la sensation soit plus forte, je sens alors des lèvres douces et chaudes venir se perdre sur ma peau, elles suivent le tracer d’un parcours qu’elles ont déjà emprunté.  Même si entre nous il n’y a rien ce contact est loin de me laisser indifférente, l’appel de la chair ne se contrôle pas. Puis ses mains me prennent par ma taille et il me soulève, un instant je me demande où il va me poser et je me retrouve sur ma table. Il veut tester sa solidité et comme pour le rassurer, vu comme elle tremble au moment ou il me pose, je lui balance dans un sourire un peu ironique. « Elle tiendra ne t’en fais pas. » Lui laissant à penser que j’ai déjà testé mais sans lui confirmer. Puis mes lèvres s’emparent de ses lèvres, mon baiser n’est ni passionné, ni fiévreux,  il est juste avide de la suite. Je passe mes bras autour de son cou, pendant que ses mains se faufilent sous ma robe déclenchant sur leurs passages des frissons que je ne peux contrôler. Mes jambes entourent alors la taille du beau blond, l’attirant tout contre moi, nos corps se frôlant intimement.  Ma bouche mordille avant de se laisser glisser sur la peau de son cou, au passage je m’enivre de son odeur qui est fort agréable mais elle ne m’emporte pas vers d’autre contrée. Elle me fait juste chavirer. Mes mains se glissent sous son tee-shirt pour aller au contact de sa peau. Doucement elle remonte le long de sa colonne vertébrale emportant avec elles le tee-shirt, découvrant au fur et à mesure le torse musclé de Daniel. Même si mon cœur n’éprouve rien, même si mon âme ne s’enflamme pas, mon corps est loin de rester indifférent aux caresses et aux baisers du beau blond. Il ne me faut pas longtemps pour défaire son pantalon, et je resserre l’étreinte de mes jambes autour de sa taille rapprochant inexorablement son corps du mien.  


C’est presque effrayant comme le corps peut répondre à certain signe, une caresse, un baiser. Comme le corps peut répondre à l’envie d’un autre corps, juste pour étancher sa soif de désir. En principe quand je me donne à un mec j’évite de le revoir, je n’aime pas refaire l’amour avec le même homme surtout quand il y a juste du sexe entre nous. Mais avec Daniel c’est différent, cela a été différent dés le départ. Je ne serais l’expliquer mais c’est comme une dépendance, une drogue, quand l’on est accro il est difficile de s’en passer. Et j’avoue que je m’en ai pas envie, et puis ce n’est pas nocif comme dépendance contrairement à certaine. En plus il c’est y faire et il n’a jamais cherché plus que ce que je lui donne, c’est un atout, ou s’il la cherché c’était pour en donner plus en retour. Alors là quand ses mains s’approprient ma peau, traçant doucement leurs chemins au plus profond de mon corps, j’en fais de même sans aucune retenue. Mon souffle s’accélère, mon sang afflue plus vite dans mes tempes, et mon corps répond à chaque mouvement de son corps. Au final, il m’emporte dans un corps à corps décadent, je ne m’envole pas, mon esprit ne s’embrume pas, mais mon corps lui vibre sous ses doigts, sous la douceur de sa peau, sous ses lèvres. Et c'est tout ce que je demande, cette fièvre de la chair, sans que le cœur souffre. Cette fièvre qui me transperce de part en part, qui finalement m'étreint mes entrailles, qui me brule la poitrine, et me donne envie d'en avoir encore plus. Nos baisers n'ont pas la saveur des baisers de deux amants amoureux mais ils ont la saveur de nos corps enivrés par l'appel de la chair. Et nos caresses même si elles ne se donnent pas avec des sentiments restent des caresses délicieuses et vibrantes. J'aime ce qu'il m'apporte même si je déteste l'homme qui est en train de posséder mon corps, j'aime ce qu'il me donne, ce qu'il me fait éprouver et ça me rend dingue. Et plus ça me rend dingue plus j'en demande et plus il m'en donne.
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