« au réveil, c'était la nuit : j'ai voulu rattraper mon rêve »
≈ PRÉNOM(S) :alia-bloom ≈ NOM :mango ≈ SURNOM :elle en a trop. A.-B. (prononcé abey), al, ali, alia, B, bloom, bloomy, alby, et d'autres encore plus nuls. vous pouvez l'appeler comme vous le souhaitez, elle répond même à un "hé !", abey. ≈ ÂGE :17 ans ≈ LIEU DE NAISSANCE :lisbonne ≈ SCOLARITÉ :excellente jusqu'à quinze ans. chaotique l'année suivante. inexistante aujourd'hui. ≈ ACTIVITÉ/EMPLOI:emmerdeuse de première, vagabonde sans domicile fixe, qui veut bien faire des p'tits boulot pour gagner un peu d'argent si on lui propose, mais qui a trop la flemme de chercher ≈ ORIENTATION SEXUELLE :elle se revendique hétérosexuelle à tel point que certains la prennent pour une lesbienne refoulée : elle est un peu homophobe sur les bords. et pas que sur les bords, en fait. ≈ STATUT :elle en change toutes les heures sur facebook. sinon elle est en couple. enfin, elle croit. elle est surtout avec un type qui la trompe au moins une fois par soir. ≈ GROUPE :the fear ≈ CINQ MOTS POUR TE DÉCRIRE :intolérante, fermée d'esprit, susceptible. (oui oui, ça fait cinq mots) ≈ AVATAR :amelia zadro
passe ta souris sur l'image
ici tu vas pouvoir donner des anecdotes sur ton personnage. tics, manies. ce qu'il aime et ce qu'il n'aime pas. c'est entièrement libre. ici tu vas pouvoir donner des anecdotes sur ton personnage. tics, manies. ce qu'il aime et ce qu'il n'aime pas. c'est entièrement libre. ici tu vas pouvoir donner des anecdotes sur ton personnage. tics, manies. ce qu'il aime et ce qu'il n'aime pas. c'est entièrement libre. ici tu vas pouvoir donner des anecdotes sur ton personnage. tics, manies. ce qu'il aime et ce qu'il n'aime pas. c'est entièrement libre. ici tu vas pouvoir donner des anecdotes sur ton personnage. tics, manies. ce qu'il aime et ce qu'il n'aime pas. c'est entièrement libre. ici tu vas pouvoir donner des anecdotes sur ton personnage. tics, manies. ce qu'il aime et ce qu'il n'aime pas. c'est entièrement libre. ici tu vas pouvoir donner des anecdotes sur ton personnage. tics, manies. ce qu'il aime et ce qu'il n'aime pas. c'est entièrement libre. ici tu vas pouvoir donner des anecdotes sur ton personnage. tics, manies. ce qu'il aime et ce qu'il n'aime pas. c'est entièrement libre. ici tu vas pouvoir donner des anecdotes sur ton personnage. tics, manies. ce qu'il aime et ce qu'il n'aime pas. c'est entièrement libre.
« dans la vraie vie »
SALUT LES POTES, moi c'est Cécile, mais tout le monde m'appelle Cess ou Cece donc à vous de voir. Sinon sur internet je m'appelle Blini en général mais chui pas connue donc on s'en fiche un peu -->. J'ai 19 ans et j'attends de savoir si chui prise à la Sorbonne en L3 info-com (inchallahhhh). Chui arrivée sur votre bijoux parce que trouver des nouveaux rpg, c'est ma passion, donc Bazzart, PRD, Root top... Bah en gros chui tombée là grâce à un des trois :P je suis pas venue toute seule, j'arrive jamais à m'inscrire quand y a pas Raphi-mon-love avec moi (aka Janis Ancens, let me fangirl), du coup on est deux persos inventés. Je suis dispo tout le temps mais là c'est les vacances donc je suis aussi vachement à la mer et puis sinon chui forte en graphisme, photoshop, toussa... chui en train d'écrire un livre super chouette avec une copine mais je vous en dit pas plus, j'ai peur que ça me porte préjudice ET VOILÀ JE CROIS QUE C'EST TOUT, EN AVANT POUR DE NOUVELLES AVENTURES
crédit vendetta.
Dernière édition par Alia-Bloom Mango le Jeu 10 Juil - 17:50, édité 5 fois
« Mais moi, cette vie-là, j'en veux pas. » Alia. Alia regarde autour de toi. Y a tout qui s'effondre, jamais rien qui tient en place, le monde entier est fait pour brûler. Faut le détruire et le reconstruire, et c'est comme ça, sans cesse, c'est une boucle, c'est infini ; le monde entier est fait pour crâmer, périr et dépérir, et puis revivre, renaître de ses cendres, comme un phénix, comme Alia. C'est comme ça. Alia elle oublie pas le nombre de fois où elle est tombée, le nombre de fois où elle a sombré. Le nombre de fois où elle s'est relevée. Alors qu'ils voulaient qu'elle reste à terre. Eux. Sa famille entière. Papa, Maman, ses frères et ses sœurs aussi. Alia le vilain petit canard. Alia partie trop tôt, rentrée trop tard. Elle est rentrée à cinq heures. Cinq heures du matin. Elle a pas fait exprès, Alia, elle a juste pas vu le temps passer. C'était une jolie soirée. Une douce nuit d'été, comme on n'en lit que dans les livres. Alors elle a pas fait attention, elle est restée. À rire et à chanter, à s'enfermer un peu plus hors de la clarté, à trouver du réconfort dans l'obscurité, c'est la nuit qui l'apaise, Alia, elle danse sur les braises, de son monde envolé. Les premiers rayons du soleil ont commencé à percer, elle s'est aussitôt mise à faner. Elle s'est aussitôt mise à courir, prise de panique, même si elle savait qu'il n'y avait plus rien à faire. T'es sortie toute la nuit, alors pars pour toute la vie. Papa et maman l'attendaient au tournant. Le plus douloureux, ça n'a pas été la gifle. Ça n'a pas été les cris. Le plus douloureux c'est d'avoir dû les écouter, les regarder, en sachant que ce serait la dernière fois. Et puis leur dire au revoir, leur dire adieu. « C'est pas la vie qui t'attend, c'est pas la vie qu'on voulait pour toi. » ils lui ont dit. Et si Maman sanglotait, c'était plus sur ses propres erreurs que sur celles de sa fille. « T'avais tout pour réussir, Abey, t'avais tout, qu'est-ce qui n'a pas marché ? On a payé l'école privée, on t'a aidée à travailler, agencé ta chambre comme tu voulais, on t'a acheté ce que tu nous demandais, on a tout fait. » On a tout fait pour toi, et toi, regarde ce que tu nous rends. Des cendres de leurs efforts. Des bouts de vie déchirés. Elle s'est sentie horriblement coupable, au fur et à mesure qu'ils parlaient. Elle les croyait. Elle était sûre, à ce moment, Alia, qu'ils avaient raison. Que c'était sa faute. Qu'elle avait tout fait foiré. Les Mango achètent l'amour à coup de billets. C'est censé fonctionner. Pourtant, elle, la gamine que quinze ans qui les regardent en pleurant, elle a pas fait exprès de rester aussi tard. Elle est désolée, elle voudrait pouvoir s'excuser. Elle, qu'est-ce qu'elle en a à faire, de leur argent ? Au fond d'elle elle sait bien qu'ils auraient dû lui dire non plus souvent. Alors, quand elle ouvre la bouche pour leur dire pardon, c'est autre chose qui franchit ses lèvres, sans qu'elle puisse vraiment le contrôler, sans qu'elle ait vraiment le temps de s'en empêcher. « Mais moi, cette vie-là, j'en veux pas. » Elle se rappelle par cœur, leurs yeux écarquillés, leurs visages écarlates. Papa n'a pas bougé, il a dévisagé l'ingrate. Longtemps. Il l'a transpercée, avec ses yeux d'autocrate. Il a doucement desserré ce qui lui servait de cravate. Et il l'a chassée, Alia. « Ne remets plus jamais les pieds ici » il lui a dit. « Va-t-en. Va vivre la vie que tu veux. Mais je te préviens, Alia : quand tu auras compris qu'elle ne sera jamais meilleure que celle que nous aurions pu t'offrir, j'aurais déjà oublié que tu as existé. »
« Les Mango sont pétés de thunes. » on entend ça partout. Parfois ça sonne comme un reproche, mais toujours avec envie, et admiration. Alia, c'est l'ange qu'on a déchue, la mineure qu'on a émancipée contre son gré, qu'on a déshéritée. Les Mango sont pétés de thunes, sauf une. Alia elle touchera plus sa part du gâteau. Finito. Elle dit jamais son nom de famille, elle aime pas raconter son histoire. Dans son cœur ça pétille, seulement à la tombée du soir. Abey, est-ce que t'as tout raté ? Est-ce que c'est ta faute si t'es une traînée ? Si t'oses même plus t'approcher de la résidence familiale, si t'évites de parler d'eux quand tu vois tes sœurs, si t'as même peur, de les regarder dans les yeux. Abey, quand elle est partie, elle a pas emporté quand chose. Une valise qu'elle a traîné derrière elle pendant qu'elle allait d'un nid à un autre. Chez un pote, chez une copine, chez un inconnu, et puis ailleurs aussi. Abey elle a de la chance d'avoir des gens autour d'elle, sinon c'est sûr qu'elle vivrait dans la rue. Abey, quand elle est partie, elle s'en est voulue à mort. Elle s'est longtemps blâmée de tout ce qui s'était passé. Alors elle est devenue comme son père, pour essayer de se faire pardonner : médisante, méprisante, méchante ; xénophobe, homophobe, phobe de tout. Et puis elle est devenue comme sa mère aussi, sa pauvre mère, à qui elle avait mené la vie si dure : lâche, susceptible, paranoïaque, hystérique. Abey elle a plus rien pour elle, juste une infinité de bêtise dans un cerveau vide. Juste un joli minois et un corps qu'ils veulent juste goûter, croquer, dévorer, puis jeter. Juste un mec, un mec qui ne l'aime pas, un mec qui aime les femmes et qui les aime seulement quand elles ne se ressemblent pas, d'un soir à l'autre. Un mec qui la trompe, un mec qui la prend quand il en a envie, s'il en n'a pas déjà eu assez. Un mec qui ressemble à son père, en fait. Un con.
Je sais pas ce que j'imagine. Qu'il pourra me sauver ? Qu'il saura au moins m'aider ? Il a la tête haute et le regard lointain, toujours posés sur une vie dont je ne fais pas partie. Je veux en faire partie, je dois en faire partie. Regarde-moi, Archer, regarde-moi et personne d'autre, pas mes sœurs, pas mes amies, pas les inconnues qui défilent une à une dans la rue, qui s'émoustillent de tes sourires et qui frissonnent sous tes caresses. Pourquoi ont-elles le droit à plus que moi ? Regarde-moi jusqu'à ce que tu ne puisses plus jamais voir personne, personne d'autre que moi. Moi, moi, moi. Il a ce quelque chose, ce je-ne-sais-quoi, comme s'il était prisonnier d'une liberté illimitée, comme si le monde s'ouvrait à lui, s'étendait à l'infini, comme s'il pouvait intégralement le visiter, partir demain, revenir jamais peut-être, qui sait. Sans attaches. Sans limites. Sans moi. Et moi je l'observe et je le dévisage, j'essaye de déceler ce que les autres ne sauront pas voir, je ris fort et je me dandine pour qu'ils me remarquent, et ça les attire, ça les attire tous, sauf lui. Et ai-je encore le droit de lui en vouloir ? Il me rend folle, il me rend barge et rouge de rage mais c'est peut-être lui, au fond, qui a raison. Mango sans rien et sans personne, qui voudrait de toi, toi qui n'as plus aucun avenir, et plus rien à offrir que des paroles creuses et des regards noirs. Je sais pas ce que j'imagine, mais je sais ce que je veux, je sais en quoi je crois. Je sais ce que je sens et ce que ressens, quand il est là, quand il ne l'est plus. Je sais que je devrais arrêter d'y penser. Que j'ai déjà l'homme qu'il me faut, la vie qui m'ira. Qu'ils sont amis, en plus de ça. Mais j'y peux rien, Jack, BlackJack, sale gamin. J'ai pas l'habitude qu'on regarde dans le vide quand je suis là. Alors regarde-moi. Si ça s'trouve, tu sauras m'aider. Pour un peu, tu pourras même me sauver.
Dernière édition par Alia-Bloom Mango le Sam 12 Juil - 17:34, édité 5 fois
Marilhéa Flores
INSCRIT(E) LE : 26/06/2014 MESSAGES : 578 AVATAR : se(x)lena gomez jlabez ** PSEUDO/PRENOM : luxxury_dreams le principal, mais j'en ai plusieurs, un pour chaque tumblr, un pour bazzart, etc, cey ça la vie de geek!
Cela fait maintenant une semaine que ta fiche est postée, et elle n'est toujours pas terminée. Tu peux désormais demander un délai pour la finir, sinon, dans 3 jours, elle sera archivée, et ton compte supprimé.
Oups, pardon pardon Ben, je prendrais bien un délai jusqu'à lundi ? juste pour être sûre, parce que je suis en train de la finir, et elle devrait être terminée ce soir, normalement