Sujet: EOGHAN ❞ don't come too close, it's dark inside. Jeu 10 Juil - 16:38
eóghan aidan hartley
« she sleeps alone, my heart wants to come home »
≈ PRÉNOM(S) :eóghan aidan, je sais, plus Irlandais que cela on meurt, mais j'ai pas choisi, hein. ≈ NOM :hartley. nom du paternel. avant j'en étais fier, mais maintenant ce n'est plus vraiment le cas. ≈ SURNOM :mon meilleur ami à la fâcheuse manie de m'appeler "mon poussin" chose qui a tendance à m'énerver. ≈ ÂGE :vingt-trois ans et toutes mes dents. ≈ LIEU DE NAISSANCE :je suis né à Dublin. ≈ SCOLARITÉ :j'ai abandonner l'école après le Lycée et je n'y ai jamais remis les pieds depuis. ≈ ACTIVITÉ/EMPLOI:vendeur en prêt à porter. ce n'est pas le métier de mes rêves, mais ça aide à payer le loyer. ≈ ORIENTATION SEXUELLE :homosexuel. et oui... désolé mesdames, mais je préfère les bras de ses messieurs. ≈ STATUT :célibataire, mais amoureux. oui c'est un peu compliqué. ≈ GROUPE :the fear ≈ CINQ MOTS POUR TE DÉCRIRE :malade, angoissé, têtu, solitaire et aimant ≈ AVATAR :Liam Payne
passe ta souris sur l'image
je suis toujours en train de chanter sous la douche, je chante comme un pied, mais ça m'amuse ≈ depuis que j'ai appris pour ma maladie, je me suis pas mal renfermer sur moi même, pour ne pas blesser mes proches ≈ il a fallut que je passe mon permis deux fois avant de l'obtenir et maintenant je vis dans un pays qui roule même pas du bon côté ! ≈ j'ai quelques tatouages sur l'avant-bras droit ≈ je vis en colocation avec mon meilleur ami et parfois c'est assez explosif chez nous ≈ quand je suis nerveux, je passe toujours une main sur ma nuque ≈ je n'aime pas les tomates crues ≈ je pourrais passer mes journées à regarder de vieux épisodes de F.R.I.E.N.D.S ≈ je sais jouer de la guitare et du piano ≈ plus jeune j'ai poster quelques covers sur Youtube ≈ l'Irlande me manque ≈ je suis un angoissé de nature et je suis devenu un très bon menteur ≈ j'adore les Oréos ≈ je fumais avant, mais j'essaye d'arrêter ≈ je suis toujours en retard.
« dans la vraie vie »
ah que coucou moi c'est Estelle, mais sur la toile on me connaît sous le petit pseudo "Pain d'Ep", il faut pas me demander d'ou ça viens c'est long a expliquer sinon j'ai 21 ans (déjà!), le RP c'est mon petit passe temps pour me détendre et en ce moment j'étais à la recherche d'un peu de nouveauté pour jouer ce petit personnage tout droit sorti de mon imagination. j'ai craquer pour votre forum après un petit tour sur Bazzart et j'ai l'impression que je vais bien me plaire ici
crédit vendetta.
Dernière édition par Eóghan Hartley le Sam 12 Juil - 13:14, édité 2 fois
Sujet: Re: EOGHAN ❞ don't come too close, it's dark inside. Jeu 10 Juil - 16:39
I wish I was beside you.
« wake me up when it's all over »
Assis sur les marches du perron, je regarde la pluie tomber. J’ai cinq ans et je m’ennuie comme jamais. Un peu plus tôt dans l’après-midi, je suis allé voir mon papa pour savoir s’il voulait jouer avec moi, mais il m’a dit non. Papa dit toujours non. Il n’a jamais joué aux voitures avec moi ou même aux supers héros. Il ne veut rien faire avec moi. Il dit toujours que je l’embête et que je dois aller jouer ailleurs. Moi j’en ai marre que mon papa il soit méchant avec moi. Parce que mes copains eux ils font du foot avec leur papa et ils disent que c’est super bien. Mais moi je dois juste jouer dans ma chambre sans faire de bruit. Même maman ne joue jamais avec moi. Alors j’attends que la journée passe en serrant mon vieux nounours contre moi. Parce qu’il ne me reste que cela à faire. Il pleut et je sais qu’Andréas n’aura pas le droit de sortir de chez lui aussi. On ira jouer ensemble demain ou à l’école. On verra bien.
« Tu m’explique Eóghan ? » Mon père est entré telle une furie dans ma chambre. Jamais il n’avait fait cela auparavant. D’ailleurs je me demande même comment il connaît l’existence de cette pièce. Dans sa main gauche, un papier que je reconnais tout de suite, mon bulletin de note. Comment est-ce qu’il a bien pu le trouver ? Je n’ai jamais eu de souci jusqu’à présent. Je soupçonne l’école de l’avoir appeler. J’ai seize ans et l’école est le dernier de mes soucis. Je préfère aller faire du skate avec mes copains, dessiner ou draguer les filles. L’école ça ne me plaît pas. Enfin… Si. L’école me plaît, mais juste pour aller à l’encontre des rêves de mes parents, je ne travaille pas. Je ne veux pas reprendre l’entreprise familiale. Je rêve juste de quitter cette maison et surtout je rêve du dessin mon métier. Et je crois que cela va arriver plus rapidement que prévu. « Ca t’intéresse maintenant ? » Je sens que le regard de mon père devient de plus en plus noir. Il a toujours été du genre à me faire des menaces. C’est tout ce qu’il sait faire d’ailleurs. Me menacer. Une fois il a levé la main sur moi aussi et on dirait qu’il va recommencer aujourd’hui. Il m’attrape par le col de mon tee-shirt et me planque contre le mur avec une violence rare. « Tu va te mettre à travailler Eóghan ! Tu es la honte de cette famille. Je me demande pourquoi j’ai un enfant comme toi. Travaille ou tu va te retrouver à la rue. » Cette fois je ne peux plus retenir la colère qui monte en moi. Il ne c’est jamais occuper de moi, ma mère non plus d’ailleurs et maintenant je l’intéresse parce qu’il voit que je lui échappe. C’est trop. « Je préfère encore me retrouver à la rue que d’être lié à toi ! » Il me lâche et pose le papier sur mon bureau. « Alors tu as jusqu’à demain pour quitter la maison. » Je n’y crois pas. Mon père viens de me jeter dehors et ce sans aucun scrupule. « A partir de maintenant je n’ai plus de fils ! » finit-il par dire avant de quitter ma chambre. « Tant mieux ! » hurlais-je. En une heure j’avais récupérer tout ce que je voulais garder et le soir même je partais dormir chez Andréas. Je pensais être libre. Ce n’était que le début de la galère.
Je resterais plus d’un an chez mon meilleur ami et ses parents. Ils ont essayé de raisonner mon père, mais je ne voulais plus retourner chez moi. Mes parents ne ce sont jamais occuper de moi alors que les parents d’Andréas était toujours là pour me donner un coup de main ou pour me donner des conseils sur la vie. J’avais l’impression d’avoir une véritable famille. Jusqu’à ce que le père d’Andréas soit muté, au Portugal. Il devait partir rapidement pour un poste très important et bien sûr toute sa petite famille allait suivre. Je n’étais pas majeur et ne pouvais pas quitter le pays sans l’autorisation de mes parents. Des voisins on accepter de m’héberger quelques jours. J’ai vu mon meilleur ami s’en aller et c’est à partir de ce moment-là que je me suis renfermé sur moi même. Je continuais à aller en cours, mais sans Andréas tout me paraissait fade et au final j’ai vite commencé à sécher. Un mois après le départ de ceux qui était ma seule famille, je me suis retrouvé en foyer. J’aurais pu rentrer chez moi. J’ai voulu rentrer chez moi, mais quand j’ai sonné mon père à ouvert la porte, il m’a regardé de la tête aux pieds et il a ferme la porte, sans rien dire. C’est à ce moment-là que j’ai compris que je n’avais plus rien à faire avec ma famille. Je suis resté dans le foyer, j’ai continué le Lycée jusqu’à ma majorité. Je voulais aller à la faculté, mais la vie en a décider autrement.
Je n’ai jamais été un gamin très sportif. D’aussi loin que je m’en souvienne j’ai toujours été essoufflé après une course ou une partie de football avec mes amis. Je ne suis pas gros, loin de là même, mais je m’essouffle vite. Personne ne c’est jamais vraiment soucier de cela et moi non plus d’ailleurs. J’ai grandi avec cette petite particularité et j’ai tenté de la dompter. Mais quelques mois seulement avant notre remise des diplômes au Lycée, j’ai voulu participer au tournoi de baseball de l’école, juste pour déconner un peu avec mes camarades de classe. On voulait que notre promotion se qualifie et on rêvait même de finir première pour bien terminer nos années Lycée. C’était une journée banale. Jusqu’à ce que je m’effondre sur le terrain. Je me suis réveiller à l’hôpital complètement désorienté et avec un mal de crâne intense. Un médecin est venu me voir quelques minutes après mon réveil et il a lâché cette bombe d’un seul coup. Un petit mot qui allait bouleverser ma vie à jamais : Cardiomyopathie. Il s’avère que j’ai toujours eu le cœur malade, mais cela ne c’était jamais manifester avant ce jour. Cette nouvelle m’a retenu. Je me souviendrais toujours de ce jour. Ce jour où j’ai pleuré comme un gosse de deux ans en appelant mon meilleur ami pour le supplier de m’accueillir chez lui au Portugal. Je n’ai jamais fait état de ma santé auprès d’Andréas. J’ai prétexté une petite dépression à être tout seul à Dublin et il n’a pas posé plus de questions. Je me suis trouver un petit job et dès que j’ai eu réuni assez d’argent, j’ai pris le premier vol en direction de Lisbonne.
Auprès de mon meilleur ami de toujours, j’ai eu l’impression de revivre. Pendant quelques jours, j’ai réussi à oublier ma maladie, mais cette dernière m’a très vite rattrapé. J’ai réussi à vivre dix-huit ans sans jamais m’en rendre compte, mais il paraît que c’est psychologique, maintenant que je me sais malade je ressens tous les inconvénients de la maladie. Pourtant je n’ai rien dit à personne, même pas à Andréas. A mon arriver, on c’est pris un petit appartement tous les deux, pour prendre notre indépendance. J’ai trouvé du boulot dans un magasin de vêtements dans le centre commercial proche de chez nous. Pour la première fois de ma vie j’étais totalement indépendant et je vivais comme un jeune de mon âge, en colocation avec mon meilleur ami. Mon médecin à transférer mon dossier médical à l’hôpital de notre quartier et je bossais pour payer mon traitement et le loyer. Andréas m’as présenté ses amis et ma vie à continuer à évoluer et a changer.
« Andy… » Je lève doucement les yeux vers mon meilleur ami qui c’est affaler sur le canapé alors que l’on venait tout juste de rentrer d’une soirée entre ami. Cela fait deux ans que je suis arrivé désormais et à vingt ans je me rendent petit à petit compte de certaine chose à mon sujet. Le regard d’Andréas se plonge dans le mien et un sourire se dessine sur ses lèvres. « Je n’aime pas quand tu me donne se petit surnom mielleux. Ca veut dire que tu veux parler sérieusement. » Sa remarque me fait blêmir. Je me sens faiblir sur le coup. J’ai un peu peur de ce qu’il pourrait dire, peur qu’il se moque aussi. Pourtant Andréas est le seul qui pourrait me comprendre. Parce qu’il est mon meilleur ami et parce que lui a déjà accepté tout ce que je redoute de mon côté. « Je crois que… » Une nouvelle fois, la soirée que l’on venait de passer se déroule dans ma tête. Ce n’est pas la première fois que je me fais ce genre de réflexion, mais ce soir tout est allé bien plus loin. « Je crois que je suis gay… » dis-je alors dans un murmure presque inaudible. Je n’en ai pas honte, enfin je crois. Et puis Andréas sort avec des mecs depuis qu’on a seize ans alors pourquoi il me jugerait ? Pourtant je le vois se relever d’un coup sur le canapé et tout de suite je sens sa main sur mon épaule. « Bordel j’ai cru que j’entendrais jamais ces quelques mots sortir de ta bouche. » « Comment ça ? » « Ca fait trois ans que j’attends ça mon vieux ! » Il rigole et je fronce les sourcils. « T’es mon frère, mon meilleur ami. Il y a des trucs que tu pourras ne jamais me cacher et puis… Je t’ai vu avec Naël ce soir. » Pourtant tu ne sais toujours pas que ton meilleur ami a le cœur d’un vieux et qu’il pourrait mourir demain, pensais-je avant qu’un soupire de soulagement s’échappe d’entre mes lèvres. Naël. Ce beau métisse me fait tourner la tête. Depuis que je l’ai vu pour la première fois il y a de cela quelques mois, je n’arrive pas à me le sortir de la tête. Ce soir on c’est embrasser. Ce n’est pas la première fois que j’embrassais un homme, mais cela avait vraiment été différent. Pourtant je n’ose pas me lancer…
Allonger sur le matelas, je regarde Naël dormir contre moi. Après ce baiser en soirée on a commencé à se fréquenter un peu plus tous les deux. Nous avons deux caractères différents et des vies à l’opposé l’une de l’autre et pourtant on s’entend à merveille. Il m’apaise et il m’a fait découvrir tant de choses en quelques mois seulement. C’est un peu le genre de rencontre que l’on fait qu’une seule fois dans sa vie. Je ne saurais expliquer comment mais en très peu de temps je suis devenu accro à lui. Pourtant j’agis comme un véritable idiot avec lui. En quelques années, ma maladie c’est considérablement aggraver. A vingt et un an ans j’ai le cœur d’un homme de soixante ans voir plus… Je ne peux plus faire aucuns efforts sans me sentir mal pendant des heures après cela. Je m’essouffle pour un rien. Mon médecin a été clair, je vais devoir subir une greffe si je veux vivre encore un peu. Je sais que je devrais prévenir mes amis, surtout Andréas qui arrête pas de me poser des questions, mais je ne veux pas les décevoir. Je ne veux pas laisser des gens tristes si je dois mourir prématurément. Je ne veux blesser personne. Alors je joue à l’idiot… Je couche avec Naël et je ne lui donne pas de nouvelles pendants des jours. Avant de le retrouver à nouveau parce qu’il me manque trop. Je l’aime comme un dingue, mais… Je ne veux pas m’impliquer. Alors je m’assure qu’il dort profondément et finis par me lever. Je récupère mes vêtements, l’embrasse tendrement sur le front et quitte son appartement sans me retourner. Il mérite bien mieux qu’un mec qui risque de mourir demain. J’en suis persuadé.
Sujet: Re: EOGHAN ❞ don't come too close, it's dark inside. Jeu 10 Juil - 20:14
Bienvenue gamin !
Alexy Vinheiro
INSCRIT(E) LE : 23/06/2014 MESSAGES : 523 AVATAR : RUBY M. PSEUDO/PRENOM : NAZACK (IVANA)
Sujet: Re: EOGHAN ❞ don't come too close, it's dark inside. Jeu 10 Juil - 23:19
bienvenue sur le forum !
Neves Teixeira
INSCRIT(E) LE : 24/06/2014 MESSAGES : 813 AVATAR : la(belle)garce. PSEUDO/PRENOM : good vibes. aka lau(rie).
Sujet: Re: EOGHAN ❞ don't come too close, it's dark inside. Ven 11 Juil - 10:48
owi un Payne j'adore le pseudo, l'avatar et le titre (imagine dragons ) bienvenue parmi nous bon courage pour ta fiche n'hésite pas si tu as la moindre question, le staff est là
Sujet: Re: EOGHAN ❞ don't come too close, it's dark inside. Sam 12 Juil - 13:42
you win !
« Félicitations, tu es des nôtres ! »
Maintenant que ton superkid est crée, que ta fiche est validée, tu vas pouvoir faire tout ce que tu veux. Mais avant, pour te guider, voici quelques liens utiles : Pour faire évoluer ton personnage, il te faudra des liens, alors n'hésite pas à aller voir par ici pour créer ta propre fiche et aller voir celles des autres. Tu auras peut-être besoin d'un logement, et d'un emploi, dont tu pourras faire ta demande là. Si tu as d'autres demandes, des suggestions, c'est pas très loin, juste ici. N'oublie pas de demander à archiver un sujet s'il est terminé, là. Évidemment, tu peux aussi créer ton propre scénariode ce côté, ou même en choisir un qui te plaît.
Enfin, il n'y a pas que le RP, tu peux aussi flooder à volonté, parler de ta dernière série préférée, ou nous montrer tes oeuvres d'art, cours donc par là !