Etta SoaresINSCRIT(E) LE : 29/06/2014 MESSAGES : 25 AVATAR : kenza zouiten PSEUDO/PRENOM : sibelius
| Sujet: (m) l'inconnu Mer 2 Juil - 0:13 | |
| au choix «feat. au choix » Etta, tu profites de la vie, sans te soucier des autres. Tu es un insouciante, certains diront de toi que tu es égoïste, mais ça les regarde. L'insouciance, c'est ce mot qui te colle le mieux à la peau. T'es une artiste, tu jongles avec le feu, tu jongles avec ta vie. T'es indépendante aussi et grande gueule, tu t'en fous des représailles. Tu vis ta vie. Tu es un fantôme, un jour ici, le lendemain ailleurs. Tu n'as pas d'attaches avec les autres. Les seuls qui comptent réellement à tes yeux, c'est la cellule familiale et ta communauté. Etta, t'es bizarre mais t'es attachante. T'es fêtarde et tu aimes danser, c'est surement ta mère prof de danse qui t'a transmis cette passion. T'aimes danser alors tu fais danser les gens. Heureux ceux qui t'aiment et malheur à ceux qui médisent sur ton sort. Tu n'as pas de temps à perdre. La vie est trop courte, t'as frôlé la mort à cause d'un connard alors tu profites. je recherche… ≈ (m) Le connard, l'intolérant. L'objet de ton ressentiment. Elle est l'objet de ton ressentiment. Tu es haineux. Tu es intelligent. Très. Mais, tu te comportes comme un idiot. T'as été influencé. Surement. Tu as grandis dans la haine de l'autre. Ton regard dédaigneux s'est posé sur moi. Tu ne t'attendais pas à ça. T'es pas habitué à ça. Elle n'est comme aucune autre. Elle n’intéresse pas les gens comme toi. Et pourtant, les regards étaient sincères. Ce baiser l'était aussi. Tu t'en veux, ça te ronge, ça te tue. Pourquoi ? T'aurais limite préféré être gay. Aimer quelqu'un que tu méprises, qui t'écoeure, que tu ne considères même pas. Ça te titille, ça te tiraille, ça te fait mal. Amour haine. T'as honte. Tu peux pas en parler dans ton entourage. Pourquoi il a fallu que tu croises son regard ? Pourquoi t'as été dans ce club ? Ce ne sont pas vos endroits habituels. Ton hostilité envers elle, c'est juste de la honte. T'es faible, tu as failli la tuer pour l'oublier. Tu l'as agressé et tu le recommenceras, s'il le faut. Tant qu'elle sort de tes pensées. Putain, qu'est ce qu'ils vont penser de toi, s'ils l'apprennent. Extrait de ma fiche. - Spoiler:
Tu retires tes lentilles, c'est comme ça. Tu es habituée à la scène, mais il y a toujours le stress. Alors, sans tes lentilles de contact comme t'es myope, tu ne verras que des silhouettes se déhancher. Elle t'a fait la promesse, elle viendra ce soir. Tu as reçu son sms, ce n'est pas son délire, ce n'est pas son milieux, mais tu lui as offert une entrée, elle est sur guest list. Tu veux la protéger, tu ne veux pas la laisser au milieu de cette foule. C'est ta petite soeur, c'est ta chair, c'est ton bébé. Tu avais besoin d'elle, ce soir. T’étais pas bien, tu ne savais pas pourquoi. La voir parmi la foule, ça t'a fait du bien, t'as pris confiance en toi. Elle est précieuse, elle est divine, elle irradie la piste. A côté d'elle, cet homme. Ton regard vacille entre elle et lui. Il est là, seul. Il boit tranquillement. Il profite de la musique. Il la vit. Tu ne peux plus le lâcher du regard, il est apparu comme ça. Tu hallucines. Il te sourit fébrilement. Tu fais la même chose. Et puis, tu détournes le regard vers ta soeur. Erreur. Tu as perdu de vue, l'inconnu.
***
Où t'es ? T'en as aucune idée. On t'a demandé de venir mixer dans un nouveau club. Un coin paumé, un endroit secret, un délire d'hipster. Qu'est ce qui leur prend à ces gens là ? Vous avez besoin de vous prouver quelque chose, d'organiser des soirées hype dans le quartier le plus pourri et le plus glauque de la ville ? Tu connais le quartier sans vraiment le connaître, tu le connais de réputation. Crache pas dans la soupe, les hipsters depuis quelques années, c'est ton fond de commerce. Hélàs. Bref, t'es là, tu ressembles à une prostituée brésilienne égarée, les talons et la robe en moins. T'as juste un maillot de Baseball trop grand et des converses, ton portable dans les mains, c'est tout. T'as refilé tes affaires à un ami, tu voulais rentrer à pied, profiter. Tu entends des bruits de pas. Des rires étouffés au loin. Tout se mélange. T'es défoncée ? La rue est déserte mais tu sens de la vie, une présence. T'es l'héroïne d'un mauvais téléfilm. " sale négresse, dégage, on ne veut pas de toi ici ! " Une voix d'homme, une voix grave, tout un ressentiment, toute une haine dans cette voix. Ces paroles haineuses furent prononcés avec tant de verve qu'elles t'ont blessés. Les mots sont plus forts parfois. Tu entends les mêmes rires étouffés que tu entendais, cinq minutes plus tôt. Tu n'es ni noire, ni blanche, t'es juste le fruit d'un métissage. T'as puisé un peu de sang sur chaque continent, t'es le visage du futur. T'es sortie très métissée, mais tu peux passer pour une portugaise trop bronzée, une métisse, une noire un peu plus claire, une arabe,... Tu ne te mets pas dans une catégorie. T'es juste un tout. Ce mot te blesse. Pas de pathos, mais certains de tes ancêtres étaient noirs et ils ont vécut des choses alors ce mot, il te met une boule à la gorge, en temps normal, tu aurais répliqué, ce n'est pas la première fois, ce genre de connerie mais là, tu ne sais à qui est en face de toi. Tu sais qu'ils sont plusieurs et indéniablement racistes. Tu décides de ne pas presser le pas, c'est un aveu de faiblesse et de peur, tu les ignores. Tu ne fais pas attention, tu fais comme si tu ne les avais pas remarqué mais eux, ils t'ont remarqué. Une bouteille vide de Super Bock roule jusqu'à ton pied, c'est l'un d'eux. Il te l'a lancé pour te faire réagir. La route est encore longue et peut devenir encore plus pénible qu'elle ne l'est déjà. Tu prends ton courage à deux mains. T'es un peu folle. Tu te baisses, tu te saisis de la bouteille. Et, tu la balances en leur direction. C'est en la balançant que tu te rends compte de ta connerie. Non, seulement t'as niqué ton portable en même temps parce que tu l'as envoyé par inadvertance mais tu prends conscience que ces mecs, ce ne sont pas des petites frappes qui galèrent, des cas sociaux du quartier, mais une belle bande de gueules cassés, de connard de skinhead. Grands, costauds, rangers aux pieds. Bref, t'es dans la merde. Pourquoi s'en prennent-ils à une fille ? T'en sais rien, mais de toute manière pour avoir les idées qu'ils ont dans la tête, c'est juste des cons. T'as pas tes lunettes, t'as pas tes lentilles, mais t'es pas aveugle et t'en reconnais un. Lui, le mec que tu as regardé toute la soirée, le mec qui dansait pendant que tu mixais, la vieille dans un club de la ville. Eye contact pendant plus d'une heure. Un seul sourire timide de sa part. T'as cru qu'il se passait quelque chose, t'étais loin d'imaginer que c'était un mec comme ça. Tu ne sais pas s'il t'a reconnu mais en tout cas, tu te sens conne. " fais pas la maligne, faut vraiment nettoyer cette ville de la vermine... Tu feras moins la fière bientôt..." s'exprime l'un d'entre eux. Des menaces. Des menaces. Ils rigolent. Tu commences à courir, tu n'entends rien derrière toi. Apparemment, ils voulaient juste t'effrayer. La peur, l'adrénaline, tu ne peux plus réfléchir,t'es paralysée. Tu continues ou tu te caches ? Tu tournes dans une ruelle et puis dans une autre, tu te cache dans une cour vide. Toi, t'as l'impression qu'une heure s'est écoulé depuis, mais en vrai, ça fait juste 20 minutes que t'es prostrée. Tu fermes les yeux, tu pries. T'es parano. Tu sens une présence, tu n'oses pas ouvrir les yeux. L'inconnu te saisit par le cou et commence à t'étrangler vigoureusement, il te soulève, t'étrangle. Quitte à mourir, tu ne préfères pas ouvrir les yeux. Pas maintenant, mais c'est de plus en plus fort, tu te sens partir, tu lui donnes des coups de pied, des faibles coups de pied. c'est ridicule comme scène. Tu te décides à ouvrir les yeux. Ton regard plongé dans le sien, c'est lui, l'homme mystérieux du club. Il s'arrête brusquement mais il ne te lâche pas. Tu as les larmes aux yeux. Tu ne sais pas si c'est à cause de l'émotion, de l'étranglement. Il s'approche de ton visage. " Petite garce! Petite aguicheuse ! " Et, contre toute attente, il t'embrasse longuement. " Salope..." Dit-il en te relâchant. Tu tombes violemment à terre. Il te donne un coup de pied. Il se rassure. Il ne peut pas t'avoir embrasser. T'es le contraire de ce qu'il aime. Tu le regardes partir, tu restes allongée. Il t'abandonne sans un regard. ≈ suggestion d’avatar honnêtement, je n'ai pas d'idées mais j'ai un faible pour les mannequins, les visages peu connus, mais après, on peut discuter, je suis ouverte, je vous dirai, si l'avatar ne me convient pas. J'aime bien les barbus, les tatoués, etc... Les mecs trop propre sur eux très peu pour moi. J'imagine juste quelqu'un qui colle avec le personnage. les conditions Toi qui regarde mon lien, j'espère que tu as saisi le personnage. Inutile de vous dire que c'est un personnage important pour le mien. C'est simple, c'est un amour impossible entre un raciste membre ou ex-membre d'un groupuscule d'extrême droite et Etta, un peu trop métissée à son goût. N'ayez pas peur de jouer un mec raciste parce qu'il peut évoluer avec l'évolution de leur relation. Malgré tout, il est peut-être au fond, le moins hostile que les autres membres. En dépit de ses activités avec le groupuscule, il peut faire des études ou avoir un travail sans que les autres ne le soupçonnent, voyez-vous. Je vous invite à lire ma fiche pour comprendre le personnage. Le lien reste assez libre concernant l'avatar mais il y a certains points à respecter néanmoins. Le pseudo doit être portugais, si possible. - Contactez Vasco Rios. Le personnage est le grand cousin de Vasco, c'est lui qui a fait connaître le groupuscule à Vasco. Discutez du lien entre vous. - Je ne suis pas méchante, " venez comme vous êtes ". J'attends votre MP. crédit snape. |
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